Realize
❖ Messages : 145 ❖ Crédits : *** ❖ ÂGE DU PERSONNAGE : *** ❖ TÂCHE : ***
| Sujet: There's no such thing as fate, only yourself to blame Mar 17 Nov 2015 - 22:44 | |
| Alice & Sawyer There's no such thing as fate, only yourself to blame ❖ QUAND ? Jour 9, durant l'après-midi. ❖ OÙ ? Est du centre neutre. ❖ RAISON DE LA PRÉSENCE DE ALICE — Sa Mentor ayant fort à faire avec les tests d'admission, Alice est confiée pour la journée à Tomas, Messager assigné aux Aigles de l'Est, qui devra lui apprendre les ficelles du métier. Ils sont accompagnés de Jamie, un autre jeune Membre pressenti pour devenir Messager. ❖ RAISON DE LA PRÉSENCE DE SAWYER — Suite à l'entraînement organisé durant la matinée pour les Aspirants, Andrea, la Lieutenant du groupe, décide de motiver ses troupes en faisant un exemple. Les dix personnes ayant montré la performance la moins impressionnante durant l'entraînement sont envoyées au nettoyage de la ville. Sawyer en faisant partie, elle se retrouve donc à trimballer les corps des victimes de la traque. ❖ DÉCLENCHEUR — Alors que le groupe de Jaguars prends un raccourci - une ruelle plutôt étroite qui n'a pas encore été déblayée -, Jamie décide d'impressionner son Mentor en prouvant sa rapidité, mais il glisse sur une flaque de sang que le sol n'a pas absorbé. Quand il se redresse, il place malencontreusement la main sur un piège oublié par les Coyotes. Les mâchoires de métal se referment sur son bras et il hurle. |
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Alice JAGUARS DU SUD ㄨ MEMBRE
❖ Messages : 1634 ❖ Crédits : young wolf (ava et signature) ❖ UN SOURIRE POUR LA PHOTO ? : ❖ ÂGE DU PERSONNAGE : dix-neuf ans. ❖ TÂCHE : en formation. ❖ HUMEUR : toujours joyeuse. quoi de mieux pour masquer ce que je ressens ?
| Sujet: Re: There's no such thing as fate, only yourself to blame Sam 26 Mar 2016 - 15:17 | |
| Je connaissais Tomas depuis mon Test d’Admission mais même lors de ce fameux Test, nous n’avions pas franchement eu le temps de parler. Il me semble que je le connaissais surtout depuis que Noâ m’avait confiée à Roxanne qui devait m’apprendre les rudiments pour devenir, plus tard avec un peu de chance, Messagère. Des entraînements très particuliers et ciblés m’avaient donc été proposés depuis par Roxanne et il arrivait souvent que je croise la route de Tomas pour observer très clairement ce à quoi ressemblait la vie de ces gradés. Je lui avais donc déjà parlé plus d’une fois et j’apprenais à l’apprivoiser, à faire avec ses particularités. C’est certain, je ne serais pas la même avec Mac qu’avec Tomas. Qu’à cela ne tienne, Roxanne m’avait confiée au Messager cette fois et pour toute l’après-midi. Je n’étais pas la seule. Il y avait aussi Jamie. Un autre Membre destiné au rang de Messager si tout se passait bien. Tomas n’était pas franchement bavard. Jamie, par contre, semblait déborder d’énergie et voulait toujours en mettre plein la vue. Je ne savais pas si j’étais plus à l’aise avec le calme que dégageait notre Mentor de substitution pour l’après-midi ou avec l’agitation exubérante de Jamie. Surtout que je n’avais jamais été le genre à apprécier la compétition. Je me voyais donc mal surenchérir sur les « bêtises » de Jamie. Je n’étais pas si intrépide. Volontaire, oui, mais pas intrépide. Pas à ce point, en tout cas. J’étais plus réfléchie, plus prudente. C’est tout.
« Tomas, regarde ! Tu ne vas pas en croire tes yeux ! » Il n’était pas méchant, dans le fond. C’était même sympathique dans un certain sens cette petite touche de peps qu’il amenait dans notre péripétie. Alors, de mon côté, je souris, bien qu’un peu embêtée. Nous n’avions pas choisi la rue la plus adéquate pour ce genre de cabrioles et j’avais peur qu’il tombe. Pourtant, lui, il était sacrément décidé, plein d’entrain et rien ne lui faisait froid aux yeux. « Fais attention, cette partie du centre neutre n’est pas encore dégag… » Patatra ! Voilà que Jamie venait de tomber, sous nos yeux, aussi ennuyés l’un que l’autre. Ennuyés pour lui avant tout, évidemment. Mais ce fut encore pire quand des cris, que dis-je, des hurlements se firent entendre. Des hurlements qui me déchirèrent le cœur. Ça n’annonçait rien de bon. Je m’approchai, collant aux pas de Tomas, et le vit coincé dans un piège. « On devrait l’amener au centre hospitalier. » C’était logique, dans les faits, mais j’essayais surtout de garder contenance. « Rapidement, oui ! » Nous devions nous dépêcher. Faire traîner les choses n’aiderait pas et je doutais franchement qu’on puisse s’improviser Soigneurs, soudainement ou même Infirmiers. Nous n’avions pas prévu que quelqu’un s’approcherait et se mêlerait au bazar. |
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