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| I have broken down walls (Pv Romane) | |
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Invité Invité
| Sujet: I have broken down walls (Pv Romane) Ven 27 Mar 2015 - 23:59 | |
| I have broken down wallsfeat. Romane & AlexJour X Endommager. C'est la seule façon que j'arrive à me décrire. Briser, fracasser. J'ai l'impression d’être en pièce détacher. L’horreur que je cherche a éviter m’est tout de même arriver à moi. J’étais au travail, comme à mon habitude. Tout ce passait bien jusqu’à l’accident. Rien de bien grave si on oublie que c’est moi qui eut été blessé. L’odeur et la douleur se disputèrent pour savoir qui se ferait sentir en premier. Je me souviens avoir crier jusqu’à m’époumoner. Le sang. Il y avait partout et je n’arrivais pas a éviter que l’odeur ne parvienne mes narines. Comme si cette dernière me poursuivait. Mon avant-bras m’avait donner l’impression de brûler et mes genoux avaient ensuite cèder alors que ma main libre se posa sur ma blessure. Je pouvais sentir le liquide me couler entre les doigts. Et mon cri continuait. Je ne les entendis pas mais je fus rapidement entourer. Des visages que je n’arrivais plus à distinguer m’avait encercler. Un main se posa même sur mon épaule, mais je me tournai brusquement avant de lacher mon bras blesser pour repousser celui ou celle qui avait tenter de m’aider.
J’ignore combien de gens on tenter de m’aider, mais j’eus l’impression que les mains ne cessait de venir alors que je m’épuisais à les répouser. Mon cri s’était tu, le temps de me laisser reprendre mon souffle. Il reprit lors que des bras me forcèrent à me relever. Mais mon corps ne me répondais plus. Je n’étais plus là. Ce n’était plus moi. Je me débattis, frappant, donnant des coups de pieds, mordant, gueulant, faisant tout ce que je peux pour me liberer. Les bras me relachèrent lorsque ma tête heurta le nez de celui se tenant derrière moi, mais mes genoux refusèrent de me retenir debout et je finis par m’effondrer de nouveau par terre. Je crois que c’est un mélange entre la douleur et le sang qui me mit dans cet état. Briser. C’est ce que j’étais. Mon regard semblait toujours trouver son chemin jusqu’à ma blessure. J’étais incapable de penser à autre chose.
Ils durent s’y prendre à plusieurs pour me maitriser, et encore je n’avais pas cesser de me débattre. Leurs voix n’arrivaient pas à se frayer un chemin jusqu’à mon esprit embrumer. Toutes formes de communications semblaient pour le moment impossible. Je continuais de me vouloir frapper et me défaire de leur emprise. En chemin, je finis par me calmer, comprenant que je n’arriverais pas à m’en défaire seule. Mais je compris bien vite l’endroit ou l’on m’emmenait. La crise reprit de plus belle. Non! Je ne voulais pas y aller. Je ne voulais pas y entrer. Les larmes se mèlèrent à l’histoire et ma voix érinter tenta de nouveau de percer les tympans de ceux qui tentaient seulement de m’aider. On ne m’avait jamais vu ainsi. Je me remis à donner des coups, mais les portes de l’hôpital s’ouvrirent et je fus forcer d’y entrer. Une fois à l’intérieur, on s’affola de me voir énerver. Mon escorte tenta d’expliquer par dessus mes cris ce qui s’était produit et j’en profitai pour m’échapper. Au lieu de prendre la direction de la sortie, j’entrai dans la première pièce libre avant de fermer la porte.
Mes cris avaient de nouveau cesser sous les protestations de ma gorge qui à présent m’était douleureuse. Tous mes sens me semblaient engourdit, je me sentais étourdit. J’avais les haut le coeur. L’odeur du sang m’était de plus en plus insupportable. Je voulais qu’on me laisse tranquile. Je voulais que la douleur cesse, que l’odeur me quitte le nez. Dans un dernier effort, je me servis d’un des lits pour barricader la porte avant de reculer lentement. Ma respiration était silante et rapide. J’étais épuisée. Je finis par sentir le mur contre mon dos et je me laissai glisser jusqu’au sol, me recroquevillant sur moi-même jusqu’à ce que je me rende compte que l’odeur se fit brusquement plus forte. Tremblante, je changeai de position, éloignant mon bras, inconsciente que cela me serait absolument inutile puisqu’en me débatant comme je l’avais fait plus tôt, j’avais mis du sang partout sur moi. Les larmes reprirent de plus belle alors que je posai la tête contre le mur en levant le menton pour fixer le plafond. Ce que j’ignorais c’était qu’il existait une autre façon d’entrer dans la chambre ou j’étais.
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Romane DRAGONS DU NORD ㄨ SOUMISE
❖ Messages : 497 ❖ Crédits : young wolf (avatar) young wolf (signature) ❖ UN SOURIRE POUR LA PHOTO ? : ❖ ÂGE DU PERSONNAGE : 20 ans ❖ TÂCHE : Soigneuse
| Sujet: Re: I have broken down walls (Pv Romane) Dim 2 Aoû 2015 - 16:52 | |
| Ce n'était clairement pas une journée de repos. Et ça se voyait. Il y avait tant de monde. Il y avait ceux qui avaient été touchés par la rébellion des Jaguars, d'une façon ou d'une autre, et qui allaient et venaient pour quelques éléments répétitifs mais qu'il fallait absolument surveiller. Il y avait ceux qui venaient pour toute autre chose. Seulement, voilà, je ne m'étais pas attendue à vivre ça. Quelque chose d'aussi fastidieux. J'avais déjà rencontré quelques éléments très perturbés et perturbant comme Syd, auparavant, alors, je n'étais pas totalement démunie ni déconcertée. Seulement, voilà, de ce qu'on m'avait raconté, elle était agressive et dans cet état depuis déjà un bon moment, facilement vingt minutes maintenant. Je le savais ; plus la crise durait, plus il était difficile de s'en défaire ou d'aider ladite personne. Je devais donc me préparer à toutes les éventualités. Je devais m'apprêter à devoir user de mes seringues, pas forcément pour l'endormir ou la rendre totalement comateuse, mais bien pour pouvoir canaliser sa folie, médicale évidemment, et calmer l'influx nerveux et ainsi calmer ses sens. Si les nerfs sont sur-utilisés, il est logique que les sens soient, eux aussi, complètement déstabilisés, complètement déréglés. Et inversement. Si ses sens sont trop utilisés, on angoisse encore plus facilement. Il fallait donc trouver une solution pour tout diminuer le temps pour qu'elle puisse reprendre ses esprits et qu'on puisse, finalement, calmer tous les éléments défectueux, les éléments touchés.
Je savais que la tâche serait plus ardue que ce que j'indiquais actuellement. Après tout, il fallait pouvoir l'approcher, choper son bras ou même sa nuque, éviter de toucher une veine pour éviter que l'effet soit d'autant plus important. Quand on atteint la veine, le produit se répand bien plus rapidement et les effets sont moins vite estompés. C'était important de maîtriser au mieux cet acte, de ce fait. En plus de ça, il fallait panser toutes les blessures, après. Et ça aussi, ça prendrait du temps. Je ne voulais pas être brutale, pourtant. Je n'avais aucune raison de l'être puisque ça pourrait accentuer son angoisse vis-à-vis du centre hospitalier. Parce qu'on m'avait raconté ce détail-là aussi. Elle avait repris ses agissements et ses crises quand elle avait compris qu'on l'amenait ici-même. Elle ne devait pas avoir que de bons souvenirs de l'hôpital et des soins. Une habituée ? C'était possible. Je ne connais pas tous les patients, après tout. Je ne suis qu'une soigneuse parmi tant d'autres. Je savais que je devais être subtile, cette fois. Bien plus que lorsque je faisais face à Samuel ou à Violette. Une angoissée n'a pas besoin des mêmes soins, surtout lors d'une crise. En temps normal, j'aurais peut-être réagi différemment, surtout en apprenant qu'elle faisait tout pour ne pas avoir de soin. De toute façon, dans son état, si l'on me le décrivait correctement, elle ne pourrait pas s'échapper bien loin. Elle ne tenait même pas sur ses jambes. Autant se la jouer correctement, de ce fait, comme n'importe quelle soigneuse. Je ne devais pas l'effrayer. Surtout pas.
« Alex ? », dis-je alors que j'étais encore derrière la porte qu'elle avait semble-t-il bloquée plus ou moins. Elle n'avait pas eu la force de le faire jusqu'au bout puisqu'elle ne tenait qu'à peine sur ses jambes et qu'avec une telle crise, elle ne pouvait décidément pas pousser quelque chose de la taille et du poids d'un lit. J'avais demandé de l'aide et nous étions parvenus à trouver les moyens de pousser, à plusieurs, avec l'aide d'hommes surtout, ce lit qui n'était pas entièrement face à cette porte. Je la retrouvai alors recroquevillée, dans un coin de la pièce. Ça n'avait rien de surprenant. Ils sont souvent dans cet état quand ils arrivent après une telle crise. Je devais y aller en douceur. Je devais m'approcher pas après pas, petit à petit, en continuant de parler pour qu'elle soit occupée par quelque chose. « Il paraît que tu travailles à la zone industrielle, à l'usine d'électro, plus précisément. », je susurrais ça. Je ne devais pas parler trop fort. Surtout pas. « Qu'est-ce qui s'est passé, dis-moi ? », je l'approchais, toujours le plus discrètement possible, seringue en main mais camouflée pour le moment. J'eus tout juste le temps d'attraper son bras. Je piquai mais de justesse. J'espérais ne pas l'avoir sonnée en passant sur une veine. « Ça va aller. » |
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Invité Invité
| Sujet: Re: I have broken down walls (Pv Romane) Lun 10 Aoû 2015 - 7:42 | |
| Engourdie, j’ai le dos posée contre le mur du fond de la pièce. Je perçois des bruits aux alentours. Je suis nerveuse et la douleur me fait tourner la tête. Je n’ai jamais eu cette sensation avant. Il y a une première fois pour tout. J’ai presque l’impression d’avoir cette odeur métalique dans ma bouche, comme si je m’étais mordue en me débattante, me blessant ainsi jusqu’au sang. J’ignore si c’est le cas et je n’ai pas envie de verifié. Ma gorge me brûle. J’entends alors une voix et ma tête se redresse pour fixer celle qui vient d’entrer dans la pièce. Alex ? me demande la voix féminine. Di j’avais pu passer au travers du mur pour reculer, je l’aurais fait. Hors, ce n’est pas le cas. Ici, je ne fais confiance à personne. Je n’aime pas les hôpitaux parce qu’il y a du sang. L’image de mon bras blessé me revient à l’esprit et m’arrache un gémissement qui est à peine audible à cause de ma gorge enrouée. Je me sens coincée, prise au piège alors que je la vois toujours venir vers moi. Je voudrais me lever et fuire, mais mes jambes ne m’écoute pas. Mon corps est épuisée et j’ai l’impression que l’odeur du sang va me faire perdre la tête.
La rousse ne baisse cependant pas les bras alors que je la vois avancée lentement vers moi. Il paraît que tu travailles à la zone industrielle, à l'usine d'électro, plus précisément. reprend-t-elle malgré le fait que je n’ai pas répondue la première fois. Je ne lui réponds toujours pas alors qu’elle s’approche toujours et encore de moi. Sa voix est douce et si ce n’avait été de l’odeur métalique de mon sang, je me serais sans doute complètement appaisée. Mais malheureusement, cette odeur est là, présente. Elle me hante toujours. j’en trmble encore et des images horrible me revienne à l’esprit et me donne envie de crier, mais la douleur et le brûlement au fond de la gorge m’indique que je ne devrais pas m’y remettre. Je suis déjà ici, il faut à présent que je me fasse à l’idée, même si je n’aime pas être ici. Qu'est-ce qui s'est passé, dis-moi ? me demande la soigneuse. J’ouvre la bouche pour parler, mais aucun son n,a le temps de sortir. Je sens soudainement ses doigts autour de mon bras et l’aiguille perce ma peau pour me piquer. Mon regard affolé se pose sur elle alors que ma main libre saisi son épaule. Ça va aller. me dit-elle pour me rassurer. Je me sens déjà me détendre doucement alors que la douleur me semble toujours aussi présente. J’ai envie de tirer mon bras pour qu’elle le lâche et je le fais, peu m’importe que je me blesse en agissant ainsi.
Dans mon état engourdi, je me sens trahie par celle que j’ai osée laisser m’approcher. Je croyais lui faire confiance, mais au lieu de cela, elle me pique dès qu’elle est assez près. Je ne la quitte pas de yeux et je ne bouge pas. Je me sens épuisée. Je dois clignée des paupières plusieurs fois pour tenter de rester éveillée. Je ne veux pas dormir, si je ferme les yeux, je vais faire des cauchemars, je le sais. Je me connais. La dernière fois que j’ai fais une crise à cause de la vu du sang, j’ai pas pu dormir plus de deux heures durant la nuit. Je ne veux pas cèder, même si je sens que mes paupières sont lourdes.
« Qu’est-ce… que tu m’as… injectée? » arrivais-je à lui demander alors que mon tremblement semble lentement se dissiper. Ma voix est cependant à peine au dessus d'un murmure et ma gorge est trop douloureuse pour que j'en dise plus. J'ai trop criée, je le sais bien.
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