There's nothing like a panic attack kindly worsened by an asshole [FB, Dan]

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Dix jours avant la rébellion. Quartier des jeux. En soirée.

Syd, un verre à la main, arpentait les ruelles du quartier pour rejoindre la rue qu'il avait laissée une demi-heure plus tôt. Il avait raccompagné une amie Dragon à la frontière, inquiète qu'elle était. Il avait même proposé de la raccompagner jusqu'à l'entrée de son territoire, mais vu l'entente entre leur deux clans, elle avait refusé sans oublier de le remercier malgré tout.
Il revenait à présent joyeusement pour continuer sa soirée, légèrement éméché. Il était passé chercher une veste au QG, parce que son corps ne semblait pas comprendre le concept de température tempérée. Autant lorsqu'il était encore un Libre, son métabolisme supportait le froid sans souci, autant depuis qu'il était devenu Membre, le froid plus ou moins extrême lui paraissait de moins en moins supportable. C'était étrange.

Il y a quelques jours avait eu lieu la fête de l'Orage et l'esprit était encore festif. Pour cette raison, il avait entendu les cris, les conversations et autre brouhaha distinctement déjà plusieurs rues auparavant. En partie pour cette raison, il n'entendit pas l'autre arriver.
A une ruelle de sa destination, il tourna à un coin et percuta quelqu'un de plein fouet. Son verre en fit de même, l'alcool se renversant sur lui mais également sur l'inconnu en face de lui tandis que Syd reculait de deux pas sous l'impact. Le Jaguar écarta les bras pour limiter les dégâts, en vain. Il ne restait qu'un fond dans son verre et le mal était déjà fait. Il grimaça, sentant déjà l'odeur forte imprégner ses narines et ses vêtements. Ceux du blond n'étaient pas en meilleur état. Il avait clairement l'air de ne pas apprécier la blague, à juste titre.
Syd grimaça encore plus, l'air contrit.

« Je- Vraiment désolé, je m'attendais pas à tomber sur quelqu'un par ici. C'est vide en général, s'excusa-t-il d'une voix un peu lente à cause de l'alcool ingurgité plus tôt mais où la gêne était audible. » Il se passa d'ailleurs une main dans les cheveux, l'air désolé. « A défaut de pouvoir t'offrir un change, je t'offre un verre pour me faire pardonner ? » Il lui offrit un sourire contrit en espérant que les choses en resteraient là. Il espérait auss que l'homme ne faisait pas partie de ces gens qui s'emportaient pour des choses qui en soient n'étaient pas si dramatiques. Après tout, l'année commençait, c'était cause de célébration. La vie était belle, l'eau était revenue, yiha ?
Nope ?

Nope, vu la tronche que tirait le blond.

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Dan passait une mauvaise soirée. Il était loin de son territoire. Damien devait le chercher partout en ce moment. S'il savait. Si seulement le jeune homme ne s'était pas laissé entraîner par Nath et sa bande d'abrutis. Il les entendait encore "Viens ce sera super", "On pourra se saouler autant qu'on le voudra, plus de limite", "Il paraît qu'il y a même des duels organisés dans les rues et qu'on peut parier des rations" et bla-bla-bla... Si Dan n'avait pas besoin de Nath dans les jours à venir pour passer son test d'admission, il l'aurait envoyé balader. Purement et simplement. Mais le blond s'était forcé. Il ne voulait pas rater son test à cause d'un bête malentendu. Que Nath accepte de l'affronter au corps à corps était une véritable aubaine qu'il ne fallait pas gâcher...

La soirée battait son plein et déjà, Dan avait trouvé un peu de réconfort dans l'alcool. En vérité, il s'était un petit peu emballé en voyant l'abondance avec laquelle on consommait le précieux liquide chez les Jaguars. Plutôt que de rester sobre, le blond avait décidé de profiter de l'instant, une fois n'était pas coutume. Légèrement bourré, il s'était ensuite lassé. Les vapeurs d'alcool lui donnaient presque la nausée et surtout, rendaient la fatigue encore plus lourde que d'habitude. Malgré tout, le jeune homme se rendait compte qu'il était dangereux de rester aussi tard loin de son territoire dans un tel état... Il fallait qu'il rentre. Il chercha après Nath et les autres mais ne trouva personne. Il décida alors de rentrer seul. Après tout, les frontières de l'Est n'étaient pas très loin. Il serait vite chez lui. Pourvu que Damien dorme déjà et ne l'entende pas rentrer...

Mais alors qu'il s'éloignait du quartier chaud encore palpitant d'activité, il percuta un inconnu. Un inconnu qui, comme par hasard, tenait un verre d'alcool au moment de la collision. Il fallait qu'il passe par là. Pire. Qu'il existe.
Putain mais c'est pas possible! Lâcha Dan d'une voix traînante lorsqu'il reçut le liquide très odorant sur lui.
Légèrement déstabilisé par l'alcool, Dan lança un regard noir à l'étranger qui se dressait face à lui. Le type en question n'était pas très impressionnant. Il était aussi chétif que lui (bien que plus grand) et semblait plus embêté qu'autre chose. Il pouvait bien l'être! Dan était trempé et les vapeurs qui s'échappaient désormais de ses vêtements le rendaient malade. Penaud, l'inconnu lui proposa un verre pour se faire pardonner. Dan laissa un rire sec s'échapper et fixa l'étranger d'un sourire mauvais.
Non merci, je crois que j'empeste déjà assez l'alcool, surtout depuis que je t'ai croisé. Le blond avisa alors le pantalon du brun qui était clairement moins touché que le sien.J'ai une longue route, alors si tu me donnes ton pantalon, je pourrais oublier gentiment tout ça. Il se tourna légèrement et marmonna entre ses dents, nerveux, "imbécile"...

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Le rire désagréable que laissa échapper le blond le fit grimacer. Ne parlons même pas de son sourire sombre qui lui firent froncer les sourcils la seconde d'après. Syd sentit ses tripes se tordre sous l'appréhension. Et à raison.
Le blond ne réagissait pas mal, non : c'était pire que ça.
Agressif, hautain, méprisant. L'attitude générale de l'autre était parfaitement décrite avec ces trois mots alors même qu'ils ne se connaissaient que depuis 30 secondes, tout au plus.

Syd avait l'habitude de tomber sur des personnes désagréables comme lui. Il y en avait chez les Jaguars, comme dans les autres clans, et pas qu'un peu. Le brun tachait de les éviter au maximum parce qu'il considérait les interactions avec eux inutilement prise de tête. Lorsqu'il était tout de même obligé de les fréquenter pour une raison ou pour un autre, ça entachait malgré tout rarement son enthousiasme. Sérieusement, la vie était bien assez dure comme ça sans qu'il aille chercher des complications sans raison.

Mais il fallait bien avouer qu'en cet instant Syd, sous l'effet de l'alcool, se sentait particulièrement agressé et agacé par les paroles et « l'exigence » de l'autre homme. Le ton impérieux utilisé lui avait hérissé les poils et lui donnait franchement envie de cracher aux pieds de l'inconnu. Il se retint cependant, sachant avec pertinence que ça ne ferait qu'aggraver la situation. Et vu le type d'individu en face de lui, mieux valait tenter de calmer le jeu dès le début.

Il inspira discrètement et longuement et réussit à faire apparaître un sourire cordial sur ses lèvres. « Ça va pas être possible, désolé. J'ai moi aussi besoin de couvrir mes fesses pour la soirée. Je pense que tu peux le comprendre. » Il accentua son sourire, un peu crispé, il fallait bien l'avouer. « Et puis, vu la température, ça va vite sécher. Si tu rentres chez toi, ça devrait pas poser souci. Si tu retournes au quartier des jeux, tu sentiras sûrement même pas l'odeur. » En temps normal, ça aurait été une tentative de blague pour détendre l'atmosphère, mais là, ça ressemblait plus à une constatation froide pour raisonner l'individu en face de lui. En temps normal aussi, il aurait proposé d'apporter son aide, d'une quelconque autre manière, mais il n'avait pas envie de faire d'efforts, là. « Sur ce, continua-t-il en hochant la tête, toujours « souriant », je vais par là. » Il hocha à nouveau la tête tout en montrant la direction du quartier de sa main libre. « Bonne soirée. » Il commença à contourner le blond, ses yeux ne le quittant pas. Syd sentait la nervosité de l'autre homme, elle était presque palpable, et il voulait être prêt à parer à toute éventualité.

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L'inconnu refusa. Pire : il faisait de l'humour. Ou du moins ça ressemblait à de l'humour dit sur un ton faussement détendu, presque trop nerveux. Dan sourit. Il savait percevoir la nervosité de quelqu'un quand elle se manifestait, même légèrement. Sans vraiment l'avoir voulu, il venait de prendre l'ascendant sur l'échange en quelques secondes à peine. Mais le brun ne se laissa pas démonter pour autant : il justifia son refus avec des arguments raisonnés et valables... Mais pas pour Dan. Ce type aurait pu trouver la meilleure raison du monde, il n'aurait jamais pu obtenir l'assentiment du blond en ce moment qui le fixait toujours d'un regard mauvais, empreint de défi.

L'étranger essaya ensuite de se défiler maladroitement et lui indiqua même le chemin qu'il emprunterait. Ce mec cherchait-il à se faire martyriser sérieusement? Dan ne le quitta pas des yeux et resta immobile. En temps normal, il aurait certainement essayé de le suivre pour le coller toute la soirée, lui mettre la pression de loin et essayer de le choper au moment le plus opportun. Mais Dan réfléchit et se rendit compte qu'il n'y aurait jamais de moment plus opportun que celui-ci... Alors, il se tourna vers l'inconnu et se rua même sur lui, empli de colère. Ce type ne s'en tirerait pas comme ça. Pour qui se prenait-il? Dan tenta de le plaquer contre un mur pour l'immobiliser. Cette enflure ne devait surtout pas fuir tout simplement parce que c'était tout ce qu'il voulait : éviter la confrontation. Dan, lui, bouillonnait comme un volcan. Il avait besoin d'exploser et ce serait sur ce lâche, tant pis. Il aurait dû choisir un autre chemin.
Je t'ai demandé un service! Tu me dois bien ça. Regarde l'état de mes vêtements hein! Je vais faire comment moi? Tu crois que je n'ai que ça chez moi? File-moi ton pantalon et tout de suite.
Un premier coup partit sans qu'il ne s'en rende vraiment compte. Un coup donné dans la nervosité et l'excitation de l'instant. Un coup qu'il regretterait peut-être le lendemain mais qui, aujourd'hui et sous l'emprise de l'alcool, lui sembla parfaitement légitime. Le blond, maladroitement et encore trop nerveux pour se maîtriser, porta la main sur le pantalon de l'étranger. Si ce type refusait d'obtempérer, il le lui prendrait de force.

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Il attendit un instant pour voir si l'autre homme allait lui lâcher la grappe ou non. Il sembla de prime abord que c'était le cas, jusqu'à ce qu'il entende un bruit de pas et de gravier. Il eut à peine le temps de tourner la tête qu'il se retrouva poussé en arrière. Son dos percuta un mur peu après, faisant naître une douleur étourdissante dans son crâne et au niveau de ses omoplates. Il dut fermer les yeux un instant alors qu'il plaçait maladroitement son bras replié devant lui, appuyé sur les deux épaule du blond, geste défensif peu utile vu les circonstances.

Il ne comprit pas le début de ses paroles mais il fut moins sonné pour comprendre la fin. Syd lui cracha un « non » audible, qui lui valut a priori un coup de poing dans la lèvre. Il grogna de douleur alors que la peau s'ouvrait suffisamment pour que du sang coule. En temps normal, il aurait eu besoin d'un laps de temps pour se recentrer et relayer la souffrance au second plan, mais la main fébrile et étrangère qui se porta à son pantalon lui fit l'effet d'un courant électrique parcourant son corps qui le ramena instantanément à la scène présente et lui donna la présence d'esprit nécessaire pour agir.

Une vague de haine et de dégoût pour l'autre homme déferla en lui. C'était un geste trop intime pour un étranger et qui plus es forcé. Syd réagissait particulièrement mal à ce genre de situation. Il agrippa donc son poignet avec force et avec une volonté de faire mal puis l'écarta de lui tout en lui crachant : « Dégage tes mains dégueulasses de moi, connard ! » Puis il le poussa de toutes ses forces, lui faisant ainsi percuter le mur d'en face. « T'as vraiment rien d'autre à foutre que de m'emmerder pour une tache à la con, enfoiré ? »

Il sentait encore la sensation de ces doigts frôlant sa ceinture et son bas-ventre ; ça lui hérissait tous les poils sur le corps. Ça logeait au creux de son ventre une légère impression de nausée qu'il n'avait plus connue depuis longtemps. Enfin... Qu'il n'avait jamais connue, plutôt, non ? Ou peut-être que si ? Son esprit s'embrouilla l'espace d'un instant alors il essaya de mettre tout ça de côté et tâcha de se concentrer à nouveau sur l'autre homme. Parce qu'ils n'en avaient clairement pas fini. L'autre cherchait les embrouilles pour s'amuser ou parce qu'il était tout simplement con. Sans être loin du quartier des jeux, le Jaguar ne pouvait s'éloigner sans que l'autre revienne à la charge ou sans lui tourner le dos.

Et puis, il était de tout façon hors de question qu'il fuie devant un enfoiré pareil.

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Le coup porta et cloua l'étranger sur place, mais alors que Dan s'apprêtait à déboutonner le pantalon du brun d'un geste vif et tremblant, ce dernier sembla se ressaisir et lui agrippa le poignet. Il cherchait à lui faire mal car la pression qu'il exerça sur son bras fit grimacer l'Aigle, qui ne put que lâcher momentanément sa prise sous l'effet de la douleur. Ce type savait se défendre. Du moins, on eut dit qu'il connaissait quelques gestes d'auto-défense. Cela corsait un petit peu la chose mais c'était loin d'être suffisant pour décourager le tireur. Si les choses allaient trop loin, il avait toujours son arme pour se sortir du pétrin. Dan savait qu'il ne pouvait pas l'utiliser - surtout sur un territoire étranger - mais l'alcool lui faisait pousser des ailes et le simple fait d'être armé de son revolver lui donnait presque l'impression d'être invincible.

Alors, lorsque l'inconnu le repoussa violemment vers le mur qu'il heurta de plein fouet, le Soumis hésita un instant à dégainer et à planter un balle entre les deux yeux de cet abruti. Vraiment. Mais quelque chose le retint. Une prise de conscience soudaine sans doute, ou plutôt l'envie d'écraser ses poings sur ce visage de benêt. Allez savoir. Il resta un instant contre le mur, observant le brun reprendre ses esprits de son côté. Le geste de l'Aigle, au départ instinctif, avait éveillé une tension chez l'autre. Un malaise. Il devait absolument en jouer. Si ce type pétait les plombs, alors Dan aurait définitivement gagné. C'est pour ça qu'il se rua à nouveau vers son adversaire et porta une nouvelle fois ses mains sur son bassin, les faisant cette fois voyager sur le bas ventre, les fesses et même l'entrejambe du type. Assurément il allait péter les plombs et lui coller une raclée, mais Dan se relèverait pour l'achever définitivement et tracer sa route. Au fond de lui, quelque chose lui disait que la faiblesse de ce gars se situait de ce côté et il comptait bien l'explorer au mieux pour lui foutre la trouille - ou plutôt la colère - de sa vie.

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Sans grand étonnement le blond se rua à nouveau sur lui, avec une agilité qui désarçonna Syd l'espace d'un instant. Ce qui eut pour conséquence qu'il se retrouva à nouveau collé contre le mur, comme un bleu. Même s'il ne le réalisait pas, les gestes précédents de l'enfoiré mais aussi la sensation désagréable qui en avait résultait le bouleversaient plus que ça n'aurait dû. Il n'avait aucune idée d'où ça venait mais ça faisait souffler sur lui un vent de panique particulièrement acide.
Et les choses n'allèrent pas en s'arrangeant.

L'autre homme profita de son moment de trouble pour faire littéralement glisser ses mains sur lui. Sur ses hanches. Sur fesses. Entre ses jambes. Des gestes qui en temps normal attisaient le désir et l'excitation de Syd. Quand c'était consentant et voulu. Tout le contraire de ce qui se passait actuellement. Le dégoût et la panique plus violente ne manquèrent pas d'envahir Syd qui grimaça et dut forcer sa concentration pour ne serait-ce que réagir.

Il agrippa les cheveux du blond au niveau de la nuque et tira de toute ses forces dessus tandis que son autre main se refermait avec fébrilité et force sur l'une des mains baladeuses de l'homme. Il serrait les dents pour ne pas haleter sous la panique, pour garder en bordure de son esprit la crise de nerf qu'il sentait dangereusement naître. Il se mit finalement à crier : « LÂCHE-MOI, GROS DÉGUEU ! » et ça lui permit d'avoir le déclic de réagir. Il le repoussa encore une fois, seulement pas suffisamment pour le faire tomber en arrière, alors il fit ce qui lui hurlait son instinct : contre-attaquer. Au lieu de fuir, il imita le mouvement de l'homme et lui décocha un coup de poing dans le ventre qui le forcerait forcément à pencher son corps vers l'avant. Il enchaîna instantanément avec coup de genou dans le visage et tenta de mettre de côté le pic de douleur qui suivit logiquement les coups dans son corps. Il s'écarta, essoufflé, et réalisa seulement que la panique gagnait considérablement du terrain.

Elle arrivait, la crise de panique. Il le sentait aux pulsations de son cœur qui ricochaient à différents endroits de son corps, notamment dans ses tempes. Il le sentait à sa vue qui se floutait par moments et au fait qu'il devait secouer la tête pour la récupérer intacte. Il le sentait à ses jambes qui flageolaient dangereusement, l'obligeant à reprendre son équilibre par intermittence, alors qu'il s'éloignait du blond en s'aidant du mur d'une ruine quelconque.
La pensée qu'il n'aurait jamais le temps de rejoindre le quartier des jeux à ce rythme-là pénétra dans son esprit et le fit paniquer encore plus, empirant ainsi les choses.

Sérieusement, tout ça pour une tâche d'alcool. Enfoiré de connard de merde qui a rien d'autre à foutre de sa merdique de vie.

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